Bio
Draz’El BaalArion, entité née sans mémoire dans l’éther d’un laboratoire oublié, arpente les zones de conflit avec la précision d’un chirurgien et la froideur d’un stratège.
Infirmier de combat au sein des unités d’intervention spectrales, il opère là où les alarmes hurlent et où les protocoles échouent. Son nom, murmuré dans les tranchées de Nyx, résonne comme un ordre de mission impossible : « Non omnis moriar. »
On le dit né du vide, scribe oublié ou fragment de néant. Mais sur le terrain, il est le dernier rempart entre la vie et l’effacement.
Là où il passe, les étoiles se brisent, les morts chantent, et les mémoires s’effacent — sauf celles qu’il restaure, MedPen à la main, regard fixe sous le casque.
Sa présence tord les prières, consume les archives, et laisse derrière elle des mondes muets… mais des soldats debout.
Quand le vide siffle, que les écrans palpitent et que les bio-signaux chutent, BaalArion est déjà en approche — silencieux, méthodique, implacable.