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Roberts Space Industries ®

Les saintes Lames / SLM

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Dans l’ombre nous vivons dans la lumière nous mourrons



History

Prologue

« Si nous ne pouvons réaliser nos rêves, vivons les en les écrivant. Car un voyage, même virtuel, reste un voyage. Il ne tient qu’à nous d’en profiter. L’imagination a, dans une certaine limite, le pouvoir des dieux. Celui de créer des mondes et des vies. »

« De nos jours la technologie permet de réaliser les rêves de certains. Pour d’autres elle
permet au moins de les prolonger. Et pour le reste elle leur permet d’espérer. »

« Il fut un temps les étoiles étaient des dieux. Puis elles se sont transformées en rêve et maintenant que sont-elles ? Des portes, des portes ouvertes à chacun sur une maison inconnue. »

« Si Dieu est une mouche alors l’humanité est un de ses yeux. Nous voyons la divinité à travers une multitude de facette. Nous pensons à travers une multitude d’interprétation de l’univers. »

Manifesto

L’idée est que chacun puisse jouer selon ses besoins et ses moyens tout en prenant du plaisir !

Nous sommes ouvert sur tout type de missions et spécialisations. Nous privilégions les contacts IRL et travaillons tous à côté pour la plupart.

Le jeu étant en alpha pour l’instant c’est surtout à chaque MAJ que nous faisons des sessions. Sur le long terme nous essayerons d’avoir au minima des sessions de jeu une fois par semaine.

Charter

La charte de toute personne étant affiliée aux Saintes Lames se résume en 10 commandements :
  1. Respect
  2. Politesse
  3. Ouverture d’esprit
  4. Entraide
  5. Amour
  6. Ponctualité
  7. Humour
  8. Ambition
  9. Responsabilité
  10. Maturité

Mise en bouche philosophique

Nous savons seulement exprimer nos pensées avec les mots que nous avons sous la main. Ou plutôt, pour exprimer tous mes soupçons : nous n’avons à chaque moment que la pensée pour laquelle nous sont présents à la mémoire, les mots qui peuvent l’exprimer à peu près.

Quand les vents font tourbillonner les plaines de la mer immense, il est doux de regarder de la terre ferme le grand effort d’autrui; non parce que le tourment de quelqu’un est un plaisir agréable mais parce qu’il est doux de discerner les maux auxquels on échappe soi-même. Pareillement il est doux d’observer les grands combats d’une guerre, dans leur déploiement ordonné sur les champs de bataille, sans participer au danger; mais rien n’est plus doux que d’occuper les hauteurs bien protégées par le savoir des sages, temples tranquilles d’où l’on peut plonger ses regards vers les autres, les voir errer de-ci de-là, chercher le chemin d’une vie hasardeuse, rivaliser de talent, lutter pour leur rang, s’efforcer nuit et jour, en une énergie exceptionnelle, d’atteindre les sommets de l’opulence et du pouvoir. Ô misérables pensées, ô coeurs aveugles des hommes ! Cette petite génération-ci, dans quelles ténèbres et quels grands dangers de vie ce passe cette existence qui est la nôtre ? Comment ne pas voir que la nature ne réclame rien d’autre pour elle que la douleur soit éloignée du corps et que l’esprit libéré de crainte et de souci jouisse d’une sensation agréable ? Nous voyons donc que peu de choses sont vraiment nécessaires à la nature physique puisque celles qui ôtent la douleur peuvent aussi mettre à notre disposition beaucoup d’agréments. Sans que la nature elle-même l’exige, si dans les maisons ne se trouvent pas des statues dorées de jeunes gens tenant dans leur main droite des torches enflammées pour diffuser la lumière sur des banquets nocturnes, si une demeure n’est pas brillante d’argent ni reluisante d’or, si des cithares ne font pas résonner les pièces lambrissées d’or, il est parfois plus agréable de s’allonger entre soi sur un tendre gazon près d’un ruisseau, sous les branches d’un arbre élancé pour déjeuner sans grandes dépenses, surtout si le temps est souriant et que la saison parsème de fleurs les pelouses verdissantes.

Le démon de la puissance. — Ce n’est pas le besoin, ce n’est pas le désir — non, c’est l’amour de la puissance qui est le démon des hommes. Qu’on leur donne tout, la santé, la nourriture, le logement, l’entretien, — ils demeureront malheureux et capricieux, car le démon attend et attend toujours, il veut être satisfait. Qu’on leur prenne tout et qu’on satisfasse le démon et ils seront presque heureux, — aussi heureux que peuvent l’être des hommes et des démons …

Conclusion.

D’après ces deux grands auteurs dont je vous laisse chercher les noms :

  • Jouons à Star Citizen tranquillement.